Suite aux différents décalages de la droite de référence, on obtient une droite quelconque d’équation y=ax+b ou encore kx+cy+d=0;
Dans une première partie, on précise ce qu’est une équation, une équation réduite, une équation cartésienne, et la pente de la droite.
Dans une deuxième partie, on détermine l’équation à partir de 2 données : les coordonnées d’1 point et le coefficient directeur.
Pour obtenir le coefficient directeur,
soit il est directement donné,
soit on a les coordonnées d’un deuxième point
soit on a les coordonnées d’un vecteur directeur,
soit on peut calculer le nombre dérivé f′(x_A) d’une fonction f en l’abscisse x_A d’un point A. On pourra alors déterminer l’équation de la tangente à la courbe représentant f, au point A.
Quand on fait des calculs sur des grandeurs physiques qui sont reliées par des égalités, chaque lettre de la formule soit être remplacée par sa valeur numérique dans l’unité de mesure compatible avec l’égalité, qui n’est pas forcément celle qui est donnée dans le problème à résoudre. Dans l’extrême majorité des cas, les unités à utiliser sont celles du systèmes international.
Les symboles utilisés pour les unités de mesure obéissent à quelques règles; les voici:
A partir des données du problème il faudra convertir les unités qui ne sont pas compatibles avec la formule physique à employer puis adapter le résultat dans une unité, un multiple ou un sous-multiple, appropriée à l’utilisation courante.
Les multiples et sous-multiples ont été appris au primaire, à l’aide d’un tableau de conversion. En maîtrisant les puissances de 10 et les opérations élémentaires sur les puissances, on doit très vite se passer de ce tableau, et toutes les conversions, aussi compliquées puissent-elles paraître, deviennent alors très simples.